2/3 L’un a fait la France ; l’autre a largement contribué à la défaire… […] La question: «Que ferait de Gaulle?» n’est pas si sotte ni si vaine que cela car il a laissé une doctrine simple: celle du souverainisme selon laquelle le peuple est l’horizon indépassable de toute vérité politique, ce qui ne va pas sans l’indépendance de la France, une puissance et une force, une potentialité et une énergie à maintenir coûte que coûte. Le chef de l’État ne se sert pas de l’État mais il le sert, car il est lui-même un instrument au service de la volonté populaire. Le fin mot de la République est donc la consultation électorale qui permet de savoir ce que veut le peuple. Dans cette configuration, l’objectif du chef de l’État n’est pas de tout faire pour être élu ou réélu, mais de proposer un contrat social auquel seul le peuple peut consentir et qu’il est le seul à pouvoir rompre: l’élection permet en effet le mouvement politique par excellence, la dynamique démocratique - élection ...
Sur un petit air Le cœur vole vole vole Dans les tourbillons du vent Le cœur vole vole vole Dans les rayons du printemps. Le cœur vole vole vole Dans la cage des amants Le cœur vole vole vole Dans l'orage et les tourments. Puis se pose pose pose Se pose bien sagement Puis se pose pose pose Entre les bras d'un enfant. Pierre REVERDY Les amants heureux, dit aussi La Cage Jean-Honoré Fragonard Note : Le berger tient entre ses mains la colombe qui doit rentrer rentrer dans sa cage. Mais, par jeu (?!...), la bergère la soulève hors de sa portée. De l’autre main, elle tient le fil qui déclenche le piège à oiseaux situé en contrebas. Seule la bergère a la maîtrise de ce qui entre ou n’entre pas dans la cage…
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